8 RAISONS DE VISITER WELLINGTON
Capitale de la Nouvelle-Zélande, Wellington est située à l’extrémité sud de l’île du Nord près du détroit de Cook qui sépare les deux grandes îles du pays. Cette ville est à la fois la capitale la plus australe du monde et la plus isolée.
Découvrez les incontournables de la troisième plus grande ville de Nouvelle-Zélande.
L' Histoire de Wellington
- Te Upoko-o-te-Ika : On pense que le légendaire explorateur maori Kupe, aurait séjourné dans le port avant l’an 1000 où de nombreux noms de lieux reconnaissent sa présence. Cependant, selon la tradition maorie, Whatonga, fut le premier à coloniser les terres à la pointe de l’île du Nord. Il nomma le port de Wellington – Whanganui-a-Tara (le grand port de Tara) en l’honneur de son fils Tara qui aurait dirigé la principale colonie de Wellington.
- 1840 : Début de la colonisation européenne. Dès 1840, des colons britanniques débarquent à Pito-one (Petone) espérant une nouvelle vie dans la colonie alors connue sous le nom de Britannia et rapidement rebaptisée Wellington en l’honneur du Duc de Wellington, sauveur de la bataille de Waterloo. La ville s’est ensuite déplacée vers l’extrémité sud-ouest du port. Les acres de la ville ont été établis et attribués aux colons en lots. Ils se sont installés sur leurs terres, expulsant les anciens habitants maoris.
- 1865, le siège de l’administration centrale, anciennement installé à Auckland, est transféré à Wellington.
- De nos jours, Wellington est divisé en 4 parties : Wellington, Porirua, Lower and Upper Hutt. Elle est également surnommée “la petite capitale la plus cool du monde” par Lonely Planet, c’est l’endroit idéal pour les amoureux de la nature, réputée pour sa qualité de vie, elle se place dans le top 3 mondial.
Climat et Transports
Wellington est considérée comme l’une des plus venteuse de la Nouvelle-Zélande. Elle est affectueusement surnommée Wondy Welly en raison de leur puissance.
Plaque tournante du transport et des communications du pays, Wellington est le point de départ du réseau ferroviaire et routier de l’île du Nord, avec des liaisons par ferry vers Picton dans l’île du Sud.
L’aéroport international est également le cœur du réseau de transport aérien néo-zélandais. Le port assure le trafic national et international, importe des produits pétroliers, des automobiles et des minerais et exporte de la viande, des articles en bois, des produits laitiers, de la laine et des fruits.
Il existe plusieurs modes de transport dans la ville de Wellington, notamment les bus, les trains, les ferries, les Cable Cars et les tramways. Le réseau de bus de la ville est bien développé. Les trains relient les principaux quartiers de la ville et des ferries relient Wellington aux îles environnantes
Sommaire
Gravir le Mont Victoria
Mount Victoria (en maori Tangi Te Keo) est située dans le Wellington’s Town Belt (réserve de 425 hectares) qui comprend de nombreux parcs, forêts et d’espaces verts protégés des avancées de la ville.
Pour la petite histoire, en 1840, en Grande-Bretagne, les parcs étaient la propriété privée des riches. Alors que les problèmes de santé et la surpopulation augmentaient dans de nombreuses villes industrielles anglaises, les gens réclamaient plus d’espaces ouverts. C’est sur cette idée que la New Zealand Company a créé la fondation du projet.

Le mont s’élève à plus de 196 mètres au-dessus du niveau de la mer et offre des vues impressionnantes s’étendant, par temps clair, sur la vallée de Hutt au nord, la chaîne de Remutaka à l’est et le détroit de Cook au sud. C’est une étape incontournable pour observer la ville.
Nous avons garé notre voiture non loin du sommet et avons monté quelques marches jusqu’à la plate-forme où nous sommes restés bouche bée devant la vue. Un mémorial en l’honneur de l’explorateur polaire et aviateur américain Richard Byrd se dresse au sommet du belvédère.
Ensuite, nous avons décidé de faire une promenade dans le parc attenant qui dispose de nombreux sentiers et où des panneaux renseignent sur la faune et la flore néo-zélandaise Vous pourrez choisir votre itinéraire.
Le Mont Victoria a également servi de lieu de tournage pour plusieurs scènes du Seigneur des anneaux de Peter Jackson : La communauté de l’anneau.
En effet, lorsque Sam et Frodon quittent La Comté, ils traversent ces bois et y aperçoivent un cortège d’elfes. Plus tard, c’est également dans cet environnement boisé que les deux hobbits, rejoints par leurs amis Merry et Pippin, tentent de semer le Nazgul qui les poursuit, en rejoignant le village de Bree. Très populaire, le sentier des lieux de tournage a été officiellement nommé Hobbit’s Hideaway. Pour les fans comme Benjamin, c’est un passage obligé. Sur le sentier, nous avions l’impression d’être immergés dans la périphérie boisée de la Comté.
En suivant les panneaux indicatifs nous sommes arrivés au banc de Sam sur lequel est gravé la phrase :
« If I take one more step, It will be the furthest away from home I’ve ever been »
Sam Wise Gangee
Monter dans le Cable Car et visiter le Jardin Botanique
Seul funiculaire fonctionnel de Nouvelle-Zélande, il a été inauguré le 22 février 1902. Sa mission première était de relier le Central Business District (CBD – le quartier des affaires) à Kelburn.
A l’entrée de la gare, nous achetons des tickets : 1 aller simple adulte coûte 6$ et 1 aller-retour 11$. Nous prenons un aller simple car nous passerons par le jardin botanique en redescendant. À l’intérieur, nous sommes assis le plus près possible du conducteur pour profiter de la belle vue pendant la montée.
Le funiculaire démarre et nous traversons différents tunnels lumineux de différentes couleurs, c’est très joli. En fond une voix préenregistrée donne des informations sur le Cable et les alentours. Le trajet de 612 mètres dure environ 5 minutes.
Le Cable Car reste un mode de transport populaire et économique pour ceux qui souhaitent explorer les jardins botaniques et les environs.
Ad. Numéro 282 de Lambton Quay
Le Musée du Funiculaire : En quittant la station, sur notre droite, se trouve la maison d’origine du funiculaire qui abrite aujourd’hui le musée du funiculaire de Wellington. Gratuit, il permet de découvrir l’évolution du funiculaire et en comprendre toutes les subtilités mécaniques.

Le Jardin botanique : Ce parc de 25 hectares est l’un des plus grands de Wellington. Le long des sentiers, on découvre des milliers de plantes et de fleurs de centaines d’espèces différentes, notamment des roses, des bégonias, des plantes aromatiques exotiques, des camélias et plus de 50 espèces de conifères.
La « Native Forest », l’une des plus anciennes réserves de flore indigène de Wellington abrite le plus vieil arbre du jardin, un hīnau tortueux de plus de 200 ans.
On se laisse envoûter par les quelques 3000 roses de la roseraie Lady Norwood, l’étang aux canards, les fontaines, sculptures et les parterres de fleurs qui varient au gré des saisons.

Immersion au musée de : Te Papa Tongarewa
Le musée national, « Te Papa » ou « Te Papa Tongarewa » est littéralement traduit par « Le lieu des trésors de cette terre ».
James Hector est le fondateur et le premier directeur du Musée Colonial, précurseur de « Te Papa », fondé en 1865 à Wellington. Celui-ci désirait créer un lieu de partage ou l’histoire et les traditions de la Nouvelle-Zélande seraient mises à l’honneur.
Te Papa a pour vocation de retracer l’histoire du pays depuis ses origines volcaniques jusqu’à la période contemporaine. Ouverts au public en 1998, après treize longues années de travaux, ses six étages ultra modernes couvrent la superficie de 36 000 m2.
On y trouve plusieurs zones d’expositions ainsi qu’une zone de restauration, une boutique de souvenirs et des espaces extérieurs. Depuis 2013, Te Papa est séparé en deux parties, une partie consacrée au passé et à l’histoire et une seconde partie se tournant vers l’avenir.

Voyage à travers les collections : Dès l’entrée, nous sommes un peu désorientés par l’immensité des lieux. A l’accueil, nous récupérons le plan du musée et prenons quelques renseignements. On trouve des brochures dans de nombreuses langues, en revanche les expositions sont uniquement traduites en Maori et en Anglais.
Le musée Te Papa est gratuit, vous pourrez trouver des boîtes de dépôt ou un système de paiement si vous souhaitez faire un don. Il est aussi possible de payer pour avoir une visite guidée. On vous met le lien ici si vous êtes intéressé. (Les dons permettent au musée de vivre et d’acquérir davantage de collections)

Gallipoli : Scale of Our War
On débute la visite du musée par la collection Scale of Our War. Cette exposition révolutionnaire raconte l’histoire de la campagne de Gallipoli pendant la Première Guerre mondiale à travers les yeux et les mots de huit Néo-Zélandais ordinaires qui se sont retrouvés dans des circonstances extraordinaires.
Pour cette exposition, Te Papa s’est associé à Weta Workshop pour créer une exposition pas comme les autres afin de nous faire voyager dans le temps et revivre les 8 mois de la bataille de Gallipoli. Les créateurs auront mis plus de 24 000 heures pour réaliser les huit néo-zélandais de 8m, soit créés à une échelle de + 2,4 fois la taille humaine. Une technologie de pointe a été utilisée pour créer des cartes et des projections 3D, des miniatures, des modèles, des diaporamas et une gamme d’expériences interactives qui donnent vie à l’histoire de Gallipoli en Nouvelle-Zélande et rendent les scènes de combat incroyablement réalistes.
La guerre de Gallipoli : La bataille de Dardanelles aussi appelée bataille de Gallipoli est un affrontement de la Première Guerre mondiale qui oppose l’empire ottoman aux troupes britanniques et françaises dans la péninsule de Gallipoli (actuelle Turquie) de mars 1915 à janvier 1916.
Depuis des siècles les détroits sont l’enjeu de guerre entre la Russie et la Turquie (celle-ci alors soutenue par les Britanniques et les Français qui ne veulent pas de la venue des Russes en Méditerranée).
Mais au début du XXe siècle, la situation change.La Russie devient l’alliée de la France et de ce fait également l’alliée du Royaume-Uni. La Turquie quand à elle devient l’alliée de l’Allemagne et de l’Autriche-Hongrie. Pour la Russie, l’approvisionnement envoyé par les alliés de la France et du Royaume-Uni est indispensable. Les Russes demandent alors une intervention afin de conquérir la péninsule de Gallipoli et prendre le contrôle du détroit de Dardanelles. Ce qui leur permettra ainsi d’ouvrir les voies maritimes plus facilement et de s’emparer de l’empire ottoman.
À cette époque, le Royaume-Uni et ses anciennes colonies d’Australie et de Nouvelle-Zélande fournissent une grande partie de la marine. Churchill mal préparé lance une première offensive, mais l’opération est suspendue quand on apprend que les renforts français auront du retard. Ce lapse de temps permet aux trucs de se solidifier et de renforcer leur position et leur armée.
A partir de mars 1915, la marine britannique bombarde quotidiennement les positions et détruit leurs champs de mines marines. La date du 18 mars marque l’attaque en masse de la flotte franco-brittonique, les turcs décident de riposter et parviennent à couler plusieurs bateaux. Il devient évident que le passage naval n’est pas la solution, ce qui entraîne le repli naval des britanniques. Le naval ayant échoué, les franco-britannique décident de passer par les terres, ceux-ci parviennent à débarquer dans le sud de la péninsule, mais la technique de défense des trucs est très efficace, les envahisseurs reste bloqué à quelques kilomètres.
A partir de la fin avril, le débarquement de troupes dans le sud est aussi un échec et le débarquement tenté plus au nord par l’ANZAC (Australian and New Zealand Army Corps) ne donne pas de meilleur résultat.
Dès le 27 août, la marine britannique quitte les lieux pour ne pas être trop endommagée par les attaques des sous-marins allemands. Les soldats débarqués ne sont donc plus protégés par l’artillerie lourde de la marine. L’expédition des Dardanelles se révèle être un échec. Le gouvernement britannique décide d’évacuer les troupes. Au mois de décembre et de janvier le rembarquement des troupes franco-britannique se fait par étapes.
Au total cette guerre aurait coûté la vie de plus de 100 000 hommes avec plus de 2 700 vies pour L’Anzac. Depuis cette époque, la Nouvelle-Zélande célèbre l’ANZAC DAY le 25 avril.
Cette partie du musée était vraiment très intéressante. L’ambiance, les statues et les jeux de lumière nous ont plongés directement dans la bataille. C’était à la fois instructif et perturbant car les émotions sont très fortes.
La zone des fossiles :
Dans cette partie du musée, on trouve une collection de fossiles, un herbier contenant environ 250 000 spécimens séchés, et une collection 70 000 spécimens d’oiseaux, d’amphibiens, de reptiles et de mammifères de Nouvelle-Zélande. Le musée possède également le plus grand spécimen connu d’une espèce de calamar, appelé « calmar colossal ». Il pèse 495 kg et mesure 4,2 m de long.

Au travers du temps :
Situé au troisième étage du musée, on découvre de nombreux objets appartenant à l’histoire et aux coutumes néo-zélandaises : un énorme marae, leur maison de culte, de rencontre, et un waka, une pirogue mais également des costumes, des objets, des bateaux. C’est une exposition très complète sur les Māoris.
Le Traité de Waitangi : Une partie très importante du musée, au milieu d’une grande pièce, est exposée une réplique géante du parchemin du traité de Waitangi. Composé de trois articles, ce traité signé le 6 février 1840 à Waitangi, marque l’accord entre les 500 chefs Māoris et la couronne royale.
Ce traité dit officiellement et formellement de la Nouvelle-Zélande devient une colonie britannique. Rédigé en deux langues, vous trouverez les deux versions, à gauche la version Māori (Te Tiriti o Waitangi) et à droite la version britannique.
En plus d’être très intéressant, ce musée est aussi très beau et nous plonge dans tellement d’univers différents. On vous le recommande.
Ad. 55 Cable Street, Te Aro, Wellington 6011. Ouvert tous les jours de 10h à 18h.
Se Balader sur le Waterfront
En sortant du musée, nous marchons sur le front de mer en suivant le tracé du Maritime Heritage Trail, une marche d’environ 3 kilomètres qui contourne le port, Lambton Bay et nous conduit jusque Oriental Bay. Sur le port, avec les cabines colorées qui sont des garages à bateaux, on se croit sur l’île d’Oléron en France.




La statue de « Solace of the Wind » :
Cette statue de fer de deux mètres de haut représente un homme nu avec ses bras rejetés derrière lui face au port.
Elle était, à l’origine, destinée à servir d’adieux à la terre sur laquelle le sculpteur Max Patte avait travaillé alors qu’il était employé à Weta Workshop avec un visa vacances-travail.
« Ce n’est certainement pas un portrait de moi – je l’ai décrit comme un portrait émotionnel parce qu’il était censé incarner émotionnellement où j’en étais à cette étape de ma vie – c’était une sorte de représentation physique« .


Les lettres de Wellington : Un passage obligatoire si vous passez sur le port, concaves, les lettres brillantes de Wellington se reflètent sur le sol. Un vrai jeu de lumières et de formes.

Oriental Bay et la Fontaine : Nous empruntons l’Oriental Parade Walk bordant l’Oriental Bay. C’est une destination populaire pour les amoureux de la plage où on peut louer des kayaks, des pédalos ou se détendre à la terrasse d’un des cafés du front de mer.
On profite du soleil sur un banc et admirons l’architecture propre et originale de Wellington, ses maisons colorées, ses fresques. À 150 mètres, dans le port de Wellington, se trouve la fontaine Carter offerte à la ville par Hugh Carter, homme d’affaires local. Cette structure en béton, construite en 1973, a un jet principal atteignant 16 mètres de haut par temps calme et des jets parapluie qui projettent de l’eau latéralement.
Observer les otaries de Red Rock
La balade débute dans le sable puis, on emprunte un sentier de roches, de cailloux de boue et de sable. Il faut compter environ 1h30 pour rejoindre le site où durant les mois d’hiver on peut admirer des colonies d’otaries à fourrure dans leur habitat naturel. Il est recommandé de porter de bonnes chaussures de marche. Durant toute la balade, on marche le long de la plage et de la côte. Au loin, on aperçoit les montagnes de l’île du Sud.
On découvre les roches de couleur rouge qui se sont formées il y a 200 millions d’années. Après plus d’une heure, nous franchissons le gros rocher surnommé « la porte du Diable » et arrivons dans la Réserve de Red Rock. On aperçoit des otaries qui nagent ou se prélassent au soleil. Elles sont trop mignonnes.
Pour une promenade avec un chien, assurez-vous de rester à au moins 200 mètres des otaries qui restent des bêtes sauvages. Les phoques et les otaries peuvent être stressés par les gens, il faut garder une distance raisonnable en tout temps car, ils peuvent vite devenir agressifs s’ils se sentent menacés. Attention surtout aux lions de mer qui sont vraiment dangereux.
Pour une expérience encore plus incroyable, n’hésitez pas à venir observer le coucher du soleil sur la roche, c’est incroyable ! Surement l’un de nos endroits préférés à Wellington.

Visiter le Central Business District
Nous flânons dans les rues de Wellington, et avons un gros coup de cœur pour la partie située près du port et du front de mer. Le charme des restaurants et des bâtiments apportent un gros plus à la balade. Nous découvrons des édifices emblématiques comme le Parlement et la Bibliothèque nationale.
Par contre, nous avons été un peu déçus par le centre-ville (le CDB). Certes l’architecture est très belle, mais il n’y avait rien de particulier. Les rues étaient noires de monde, les gens s’entassaient dans les boutiques, ce n’est clairement pas notre endroit préféré pour nous balader.
Découvrir le Weta Workshop
WETA est l’acronyme de Wingnut Entertainment Technical Allusions, c’est un un jeu de mot qui rappelle la société de production de Peter Jackson : Wingnut Entertainment.
Incontournable société néo-zélandaise basée à Wellington, celle-ci est célèbre pour la réalisation et la création de ses effets spéciaux, ses costumes et ses accessoires. Elle est intervenue sur des films comme la trilogie du Seigneur des anneaux, Avatar, King Kong, Le monde de Narnia, The Hobbit, et plein d’autres films.
Il est possible d’effectuer une visite guidée du studio ou d’explorer la boutique qui expose et vend de nombreuses figurines issues de ses réalisations.
Le Mémorial de Massey
Le mémorial Massey, à Point Halswell, commémore William Ferguson Massey, chef de l’opposition en 1903 et premier chef d’un gouvernement réformiste en 1912. Il a dirigé la Nouvelle-Zélande pendant la Première Guerre mondiale et est resté Premier ministre jusqu’à sa mort en 1925. C’est le seul dirigeant du Commonwealth qui a pu conserver son poste après la Première Guerre mondiale.
Le Mémorial est accessible après une courte marche depuis le bas de Shelly Bay Road, il faut gravir une petite colline. Au sommet, on découvre le monument en marbre Tākaka pâle, reposant sur une base de granit Coromandel gris foncé. C’est très élégant et la vue sur l’océan est incroyable.
On espère que tu as appréciés la balade, n’hésites pas à nous dire quel est ton endroit préféré de la capitale.

BENJAMIN & CLARA
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